Que reviennent ceux qui sont loin de Pierre Adrian
Après de longues années d’absence, un jeune homme retourne dans la grande maison familiale située en Bretagne. Dans ce décor de toujours, au contact d’un petit cousin qui lui ressemble, entre les après-midi à la plage et les fêtes sur le port, il mesure avec mélancolie le temps qui a passé.
Chronique d’un été en pente douce qui commence dans la belle lumière d’août pour finir dans l’obscurité, ce roman évoque avec beaucoup de délicatesse la bascule de l’enfance à l’âge adulte, et les souvenirs des vacances en famille au bord de la mer, parfois sous la pluie.
Consolation de Anne-Dauphine Julliand
Dans ce troisième livre, l’auteur nous amène à une réflexion sur le deuil, la souffrance et la consolation, et cela à partir de son expérience personnelle. Elle donne un message d’espoir face à la souffrance. Elle nourrit sa réflexion suite à son vécu avec ses deux filles décédées. Un livre touchant, émouvant, pour accepter et partager nos fragilités, accepter et demander de l’aide, vivre un deuil, une épreuve. Un livre court, beau et source de réflexion, de méditation.
Les victorieuses de Laëtitia Colombani
A 40 ans, Solène a tout sacrifié à sa carrière d’avocate : ses rêves, ses amis, ses amours. Un jour, elle craque, s’effondre. Tandis qu’elle cherche à remonter la pente, son psychiatre l’oriente vers le bénévolat. Peu convaincue, Solène répond pourtant à une petite annonce : " association cherche volontaire pour mission d’écrivain public ".
Elle déchante lorsqu’elle est envoyée dans un foyer pour femmes en difficultés.
A la faveur d’un cours de Zumba, d’une lettre à la Reine d’Angleterre ou d’une tasse de thé à la menthe, Solène va découvrir des femmes aux parcours singuliers, issues de toutes les traditions, venant du monde entier et se lier d’amitié. Elle va aussi comprendre le sens de sa vocation : l’écriture
Mais parallèlement à l’histoire de Solène, ce roman met aussi à l’honneur le courage des femmes et d’une femme, tout particulièrement : Blanche Peyron, fondatrice, dans les années 20, de cet incroyable refuge pour les femmes en grandes difficultés : "Le palais de la Femme", toujours en activité dans la capitale.
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